Lead dev chez Intermarché entre bons plans et petits sacrifices
C’est officiel : j’ai une nouvelle mission. Et pas des moindres ! Je suis désormais Lead Developer chez Intermarché. Alors, non, je ne passe pas mes journées à réorganiser des rayons de pâtes ou à réfléchir à la prochaine promo sur le camembert, mais à coder, accompagner d’autres développeurs et contribuer à des projets plutôt excitants dans un domaine que je ne connais pas encore : les applications eCommerce. Petit débrief de cette opportunité que j’ai accueillie avec enthousiasme… et un soupçon de pragmatisme.
Une mission taillée sur mesure
Quand cette offre est tombée, j’ai tout de suite senti qu’il y avait un truc à creuser. L’opportunité de travailler avec une équipe motivée et compétente, sur des projets qui mêlent technos modernes et enjeux concrets, c’est le genre de défi qui me parle. Et, cerise sur le gâteau, tout se fait dans un cadre plutôt sympa. Pas de rivalités toxiques ni de réunions interminables, juste des gens qui veulent avancer ensemble. Franchement, ça change des environnements stressants où la productivité passe avant tout.
En plus, les technos utilisées sont pile dans mon domaine d’expertise. Pas besoin de feindre la maîtrise d’outils obscurs ou de passer des nuits blanches à apprendre des frameworks sortis la veille. Je suis dans mon élément, ce qui rend le boulot à la fois fluide et motivant. Le genre de mission où on se dit : “Enfin, un truc qui fait sens !”
Une rémunération… modeste, mais ça me va
Alors oui, soyons honnêtes, cette mission est clairement sous-payée par rapport à mon niveau d’expertise et à ce que je pourrais prétendre ailleurs. Mais, pour une fois, ça ne me dérange pas. Pourquoi ? Parce qu’à ce stade de ma vie, je privilégie la stabilité, l’ambiance et le plaisir de bosser sur des projets intéressants. Et, entre nous, ce n’est pas comme si je croulais sous les propositions. Donc, pour l’instant, je vois ça comme un compromis parfaitement acceptable.
Je pourrais jouer au développeur diva et exiger un salaire exorbitant, mais soyons réalistes : je préfère un poste où je me sens bien à un gros chèque qui m’envoie droit au burn-out. Bref, je suis pragmatique, ou peut-être juste fatigué de courir après des rêves trop grands pour mon portefeuille.
Un futur à construire (en douceur)
Pour l’instant, tout roule. L’équipe est top, les projets avancent bien, et je prends vraiment plaisir à me lever le matin pour aller bosser (bon, presque tous les matins, hein). J’espère que cette mission durera un bon moment, parce que, pour une fois, je ne suis pas pressé de changer. Qui sait, peut-être que ça ouvrira des portes sur d’autres projets encore plus ambitieux. Ou peut-être que je finirai par négocier une petite augmentation. Tout est possible, non ?
Et le reste ?
En parallèle, je continue mes petites aventures sportives, et mes genoux tiennent toujours (miraculeusement). J’essaie aussi de reprendre le contrôle de ma vie financière, une ligne de code à la fois. Mais pour l’instant, cette mission chez Intermarché est un vrai souffle d’air frais, un mélange parfait de défi professionnel et de confort personnel. Alors, on croise les doigts pour que ça dure. Et si ça ne dure pas, au moins je saurai que j’ai bien fait de dire oui à cette opportunité. Après tout, la vie, c’est comme le développement : on avance, un sprint après l’autre, en espérant que rien ne plante en cours de route.